Nos événements

Fête des Plantes d'Automne

23, 24 & 25 septembre 2022

Saint-Jean vous invite à vivre l’extraordinaire

L’édition automnale de la plus grande Fête des Plantes de France se tiendra les 23, 24 et 25 septembre prochains. A trente minutes au sud de Paris, plus de 200 exposants du monde horticole se réuniront pour vous présenter des végétaux d’une qualité inégalée et le plus beau de l’art de vivre au jardin. Arbres, arbustes, bulbeuses, graminées, grimpantes, rosiers et vivaces, mobilier, décoration, accessoires, vêtements et artisanat couvriront le Domaine pour vous offrir un choix unique. Venez à la rencontre des professionnels pour profiter de conseils personnalisés !

Sur le devant de la scène cette année, les plantes spectaculaires feront leur show. Des floraisons abondantes, des tailles démesurées, des formes inattendues, des parfums enivrants, des feuillages étonnants ou des couleurs insolites… ces végétaux feront briller vos yeux, animeront vos jardins, vos balcons et vos terrasses et provoqueront l’admiration de vos visiteurs.

La remise des Prix et Trophées récompensera comme à chaque fois le travail tenace et l’excellence de nos exposants. Des conférences, des animations ainsi que des ateliers pour petits et grands vous seront offerts tout au long de ces trois jours.

Un moment de découverte et de partage précieux à ne pas manquer.

Sommaire

Le thème de l’édition "Le jardin, plaisir des sens"

L’art du jardin, au fil des siècles, a souvent célébré les cinq sens. Mais il faut dire que ceux-ci sont inégalement illustrés. Le plus honoré de tous est la vue, par le biais du dessin général, de la structure et de la couleur des plantes. Elle est suivie de l’odorat, à travers les parfums des fleurs, des feuilles ou même de la terre. Viennent ensuite le toucher et le goût, qui demandent une participation active (et parfois… risquée !) du visiteur. L’ouïe est la plus mal lotie et, excepté avec l’aide du vent dans divers branchages, doit compter sur les oiseaux et des éléments matériels tels que l’eau. Il n’en reste pas moins que la gamme de végétaux permettant d’illustrer au mieux les sens reste quand même large, d’autant que certaines plantes ont l’amabilité d’en satisfaire plusieurs à la fois. Voyez le simple exemple des cerisiers avec leurs fleurs (vue et odorat), leurs fruits (goût), puis leurs coloris d’automne (vue, de nouveau). Ajoutons que même les plus agressives (cactées, ronces, etc.) peuvent avoir leurs bons côtés et offrir, à côté de leurs piquants, des fleurs chatoyantes et soyeuses, voire des fruits savoureux. On peut une fois de plus faire confiance à la nature pour nous réserver d’aimables surprises, et aux pépiniéristes pour les dévoiler.

Nos coups de cœur

L’Erythrina x bidwillii de la pépinière Saint Méloir

Réparties dans tout le monde intertropical (et un peu au-delà), les quelque huit cents espèces d’érythrines comportent surtout des arbres peu faits pour notre pays. Les espèces basses, buissonnantes, sont plus accommodantes, du moins pour celles qui supportent l’humidité de nos hivers. Tel est le cas de l’étonnante E. x bidwillii, fruit du mariage entre deux espèces robustes, et qui a hérité la rusticité de l’une et les inflorescences de l’autre. Les très longs (0, 60-1m) épis écarlates apparaissent durant tout l’été sur des tiges souples, au feuillage vert tendre. Tout disparaît en automne. La rusticité est de -15°C environ. Plein soleil et sol filtrant.

Une orange étonnante chez Labyrinthes aux Mille Fleurs

Cette maison s’est fait une spécialité (entre autres) des agrumes en tout genre, en primant non seulement le pittoresque, mais également la qualité des fruits. Ainsi de ‘Cara Cara’, une variété d’orange (Citrus sinensis) de type Navel, à la chair rose-orangé, très sucrée et parfumée, sélectionnée au Venezuéla. De plus, ces fruits de mi-saison, parfaits pour la table, se pèlent très facilement. L’arbuste, vigoureux, très fructifère et de culture facile, supporte jusqu’à -8°C.

Le goji noir de Ribanjou

Les lyciets (Lycium sp.) connaissent depuis quelques années une grande popularité, surtout pour leurs vertus médicinales réelles ou supposées. Ces arbrisseaux épineux, cousins de la pomme de terre ont également l’avantage non négligeable de s’accommoder de sols pauvres, du plein soleil et de la sécheresse. Le goji noir (Lycium ruthenicum), ou lyciet russe (plutôt chinois, en fait !) ne dément pas ces qualités. En outre, ses fruits noirs, surabondants (ils masquent totalement les tiges), présents d’août à octobre, s’avèrent nettement plus savoureux. Ils ont les mêmes qualités que les fruits rouges plus connus. Haut de 1m environ, l’arbuste peut prendre place partout.

Le Canna edulis de Végétal 85

Les cannas ne sont pas que des plantes ornementales, comme le précise le nom de cette espèce botanique (edulis = comestible). Sa facilité de culture lui a valu d’être autrefois surabondamment employé sous les Tropiques comme légume pour la nourriture des esclaves qui lui donnèrent le surnom ironique de « tous les mois » (comprenez : « tous les jours » !). A dire vrai, c’est un légume assez fade et peu nourrissant, mais il reste une plante d’ornement plus qu’aimable, aux fins épis de fleurs abondantes et élégantes durant tout l’été.

La ronce à fruits de Chênes de Caux

Les ronces fruitières sont désormais répandues chez nous, généralement sous des noms anglais, dus à leur origine souvent américaine. Si vous hésitez à en installer chez vous en raison de la vigueur bien connue de tout le genre, en voici une qui va vous séduire. La ronce ‘Darrow’ commence par fournir abondamment en mai-juin de grandes fleurs blanches, apparaissant dès le jeune âge de la plante, et suivies en juillet-août de gros fruits noirs, savoureux. Le bon point supplémentaire est que cette ronce, au contraire de toutes ses sœurs, ne se marcotte pas et reste donc facile à maîtriser.

La Mandevilla laxa des Pépinières Braun

De nombreux hybrides de Mandevilla font une belle carrière comme plantes saisonnières, avec une intéressante gamme de coloris. M. laxa est une espèce botanique, largement répandue dans divers pays d’Amérique latine. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, cette liane possède une certaine rusticité (jusqu’à -10°C) en sol très drainé et exposition protégée. A défaut, elle sera cultivée en gros pot à hiverner presque au sec et hors-gel. Au printemps, elle développe de longues tiges (jusqu’à 2m) garnies de feuilles vernissées et portant en été des bouquets de grosses fleurs blanches tubulaires, très parfumées, surtout le soir, pour attirer les papillons de nuit. Elle prospère en plein soleil, sur un treillage léger.

Le Lobelia tupa de La Petite Foulerie

Pour la plupart d’entre nous, les Lobelia sont plutôt de jolies plantes courtes destinées aux garnitures d’été des pots et jardinières. Mais ce sont avant tout des plantes vivaces, dont quelques-unes, bien qu’originaires de climats chauds, sont acclimatables chez nous. C’est le cas du spectaculaire Lobelia tupa, au feuillage velouté surmonté en été de longs épis rouges atteignant 1m de haut. La plante demande une exposition abritée mais non brûlante, en terre fraîche et filtrante, où elle supportera jusqu’à -12°C.

Le manioc rustique des pépinières Ripaud

A dire vrai, ce nord-américain (Manihot grahamii) s’avère être un modeste producteur (éventuel !) de tapioca. En revanche, c’est le plus rustique du genre (-10/-12°C), et de loin. Si ses performances culinaires sont modestes, l’intérêt décoratif de son feuillage est indéniable, d’autant qu’il pousse remarquablement vite, atteignant en une saison des dimensions de bel arbuste et offrant alors tout l’été son feuillage exotique, qui concurrence par son aspect celui des Schefflera, si fort à la mode. Ajoutons que sa floraison, discrète, est remarquablement mellifère. L’idéal est de le cultiver en pot, à abriter hors-gel durant un ou deux hivers, après quoi il aura formé un tronc assez robuste pour résister au froid au jardin, en sol drainant. Dernier point, mais non des moindres : il se moque des canicules et des terres maigres.

Le manioc rustique des pépinières Ripaud

A dire vrai, ce nord-américain (Manihot grahamii) s’avère être un modeste producteur (éventuel !) de tapioca. En revanche, c’est le plus rustique du genre (-10/-12°C), et de loin. Si ses performances culinaires sont modestes, l’intérêt décoratif de son feuillage est indéniable, d’autant qu’il pousse remarquablement vite, atteignant en une saison des dimensions de bel arbuste et offrant alors tout l’été son feuillage exotique, qui concurrence par son aspect celui des Schefflera, si fort à la mode. Ajoutons que sa floraison, discrète, est remarquablement mellifère. L’idéal est de le cultiver en pot, à abriter hors-gel durant un ou deux hivers, après quoi il aura formé un tronc assez robuste pour résister au froid au jardin, en sol drainant. Dernier point, mais non des moindres : il se moque des canicules et des terres maigres.

Collections, raretés et nouveautés

L’excellence botanique sera plus que jamais à l’honneur lors de cette édition de printemps avec
l’une des palettes végétales les plus importantes d’Europe. Rassemblement unique de pépiniéristes producteurs retenus pour la qualité et la diversité de leurs productions, elle comblera les attentes des plus exigeants. Arbres et arbustes, conifères, bulbeuses, grimpantes, rosiers, vivaces, graminées, annuelles… les meilleurs spécialistes seront là pour vous conseiller et vous faire découvrir leurs collections, leurs sélections de plantes rares ou méconnues et les dernières obtentions horticoles.

Découvrez dès à présent quelques-unes des nombreuses plantes rares et des nouvelles obtentions qui seront présentées lors de cette édition printanière..

La glycine Blue Line ® ‘Copper Leo’ des pépinières Choteau et Travers

Les cultivars de glycines, toutes espèces confondues, ne cessent d’accueillir de nouveaux représentants dans leurs rangs, telle cette superbe obtention de Benoît Choteau. La glycine de Chine produit usuellement un tout jeune feuillage pourpré, qui vire aussitôt au vert. ‘Copper Leo’, elle, s’en distingue en conservant longuement ce coloris, teinté de cuivre, contrastant magnifiquement avec la floraison lavande clair. Le parfum reste tout aussi capiteux que dans le type sauvage et la plante remonte une ou deux fois en été. Comme toutes les glycines, elle n’offre aucune difficulté de culture, demandant juste une taille raisonnable pour limiter éventuellement son expansion.

L’Ercilla volubilis de La pépinière Indigènes

Si vous voulez de l’inhabituel dans le rayon plantes grimpantes, optez pour celle-ci. Venue du Chili, Ercilla volubilis donne des tiges souples, qui forment un buisson lâche. Dès qu’elles trouvent un appui possible (arbuste, mur, arbre...), elles développent des crampons qui les font monter jusqu’à 5-6 m de haut. Au printemps, tout le long de ces branches, à l’aisselle des petites feuilles persistantes, apparaissent des grappes de fleurs mousseuses, rosées, parfumées et mellifères. Très abondantes, elles donnent une illusion de fourrure rose. Donnez à cette gentille merveille une exposition ombragée, en sol frais mais drainé, où elle résistera à -10/-12°C.

La liane de jade du Jardin des Erythrines

C’est un des Graal des amateurs de plantes de serre. Présente seulement dans quelques collections et jardins botaniques, la liane de jade (Strongylodon macrobotrys) est en général impossible à se procurer, en particulier à cause de la très faible longévité de ses graines, qui ne voyagent guère. Tropicale, elle demande la serre chaude ou tempérée, ce qui n’arrête pas les collectionneurs, fascinés (on le serait à moins !) par la stupéfiante couleur vert électrique de ses fleurs, apparaissant en énormes grappes de 0, 7 à 1 m de long. La plante demande de la place, mais, tout comme sa cousine la glycine, elle peut être maintenue par la taille. Elle fleurit dès son jeune âge.

La collection d’ancolies de Jardins d’Exception

C’est sans doute la plante qui fait partie du panthéon de tous les jardiniers. Qui n’a, en effet, des souvenirs d’enfance de jardins champêtres ou élégants où les ancolies ornaient, sous diverses formes, les beaux jours du printemps ? Offrez- vous sans complexe un goût de revenez-y avec la collection d’Olivier Czajczyk. Qu’il s’agisse de raretés botaniques venues du bout du monde ou d’hybrides raffinés, il a entrepris de toutes les collectionner, et sa gamme, déjà riche d’une trentaine de variétés et espèces, ne cesse d’augmenter. Si quelques-unes sont un peu délicates et réservées au collectionneur attentif, la plupart sont on ne peut plus faciles à apprivoiser dans tous les jardins.

L’Ebenus cretica d’Olivier Cazeneuve

A l’heure où l’on recherche les végétaux aptes à résister au sec et au soleil brûlant, cette merveille, jusqu’ici confidentielle, est appelée à un sérieux avenir. C’est un buisson tapissant, au dense feuillage argenté, atteignant 1m de diamètre. En avril-mai apparaissent les boutons floraux duveteux, en épi, d’ou éclosent les fleurons rose vif, mellifères et gentiment odorants. La plante résiste fort bien au froid (-10/-12°C, au moins) et ne craint qu’une chose : les sols trempés. Donnez-lui donc une exposition très ensoleillée et une terre très, très drainée, acide ou calcaire, où l’humidité hivernale qu’elle redoute ne pourra stagner. Elle est parfaite pour les pentes et jardins de graviers.

Art de vivre “côté jardin”

Aménager, embellir, entretenir… le meilleur de l’art de vivre «Coté jardin» s’invite toujours avec talent aux Fêtes des Plantes de Saint-Jean de Beauregard. Outillage, mobilier, décoration, brocante, gastronomie, vêtements et accessoires signent le style. Les plus grandes marques côtoient les créations artisanales et les grands classiques cohabitent avec les dernières tendances.

60 exposants vous attendent

Parmi les exposants présents, vous pourrez retrouver des exposants historiques  et découvrir de nouveaux exposants. Parmi eux : 

Prix et Trophées

Afin d’encourager les pépiniéristes dans leurs obtentions et leur recherche de plantes rares ou méconnues et les aider dans leur promotion et leur diffusion, les Prix et Trophées Saint-Jean de Beauregard distinguent les végétaux les plus méritants et sont un des temps forts de chaque édition. Attribués par quatre jurys indépendants, ils véhiculent les valeurs d’excellence botanique, de partage des connaissances horticoles et de développement de l’amour des jardins, chères à Saint-Jean de Beauregard.

Prix et Trophées

Afin d’encourager les pépiniéristes dans leurs obtentions et leur recherche de plantes rares ou méconnues et les aider dans leur promotion et leur diffusion, les Prix et Trophées Saint-Jean de Beauregard distinguent les végétaux les plus méritants et sont un des temps forts de chaque édition. Attribués par quatre jurys indépendants, ils véhiculent les valeurs d’excellence botanique, de partage des connaissances horticoles et de développement de l’amour des jardins, chères à Saint-Jean de Beauregard.

Prix et Trophées Saint-Jean de Beauregard

Attribué par les créateurs et organisateurs des Fêtes des Plantes de Saint-Jean de Beauregard, il a récompensé une plante exceptionnelle récemment introduite en France et véhiculant tout particulièrement l’esprit « Saint-Jean de Beauregard », avec une dotation de 400 euros.

Située en plein coeur du Pays de Caux, cette pépinière tente de réconcilier nature et agriculture. Elle produit en fonction des saisons, des cycles de la lune ainsi que de celui des plantes, dans le respect de ce qui nous entoure et espère ainsi proposer la meilleure qualité pour des végétaux à mettre dans l’assiette, à admirer dans le jardin, ou les deux ! Elle produit un grand nombre de végétaux différents, mais en petite quantité pour en préserver la qualité.

Le Grand Prix de Saint-Jean de Beauregard de cette édition automnale lui a été attribué pour sa Mentha x niliaca, sans doute la plus grande menthe connue. Avec ses feuilles énormes (pouvant atteindre la taille d’une main) et ses tiges épaisses, elle peut mesurer jusqu’à deux mètres. Elle est d’une beauté exubérante et comestible ! Rare en culture elle est pourtant simple à entretenir en sol frais même si elle supporte le sec et le soleil.

Exposition : mi-ombre
Sol : frais à humide
Rusticité : -15°C
Période d’intérêt : mars à novembre (voire plus si hiver doux)
Feuillage : arrondi, large, duveteux, tardivement caduc, parfum de pomme camphré
Floraison : en épis blanc assez court en été, très mellifère
Utilisation : fond de massif, lisières, pots, bord de pièce d’eau, sous-bois, forêt comestible

Attribués par un jury composé d’experts reconnus du monde horticole, les Trophées ont récompensé dans chaque catégorie une plante offrant un réel intérêt botanique ou horticole parmi les nouveautés ou les redécouvertes d’anciennes variétés, de culture facile sous climat moyen de la France.

Pépinières Ripaud pour Melia azedarach ‘Jade Snowflake’

Melia extrêmement rare offrant un feuillage lumineux très intéressant. La résistance à la sécheresse de la plante est un atout supplémentaire. Malgré l’importance de la panachure, la croissance de la plante est ample.

Exposition : soleil
Sol : drainant
Rusticité : -12 à -15°
Période d’intérêt : avril à octobre
Feuillage : feuilles pennées panachées crème
Floraison : fleurs mauves en grappes en juillet/août
Utilisation : arbre tige ou cépée

Pépinière de la Petite Foulerie pour Miscanthus nepalensis

Floraison d’automne aux épis dorés retombants, il s’agit de l’une des graminées botaniques des plus élégantes.

Exposition : soleil / mi-ombre
Sol : drainant
Rusticité : -10 à -12°
Période d’intérêt : automne
Feuillage : vert graminoïde
Floraison : septembre – octobre
Utilisation : massifs, jardins naturels

Pépinières Travers
pour Clematis x Sphyra® Violetta ‘m32-10’

Nouvelle variété de clématite résistante à l’humidité, au gel, au sec, à la pollution et aux maladies. Sans entretien, la floraison est longue et estivale et son usage est multiple : en mélange dans les arbustes bas, en pleine terre comme en bacs, rampant et même en vase !

Exposition : soleil
Sol : drainant
Rusticité : -24°
Période d’intérêt : juin à septembre
Feuillage : caduque

Mozaic Garden
pour Syringa pekinensis ‘China Snow’

Arbuste ou petit arbre à feuilles caduques, dressé et touffu, pouvant atteindre cinq mètres de haut, à l’écorce cuivrée et pelée, et aux feuilles vertes ovales ou en forme de cœur. Produit d’abondantes et grandes grappes de petites fleurs parfumées blanc crème à la fin du printemps et au début de l’été.

Exposition : soleil
Sol : alcalins à neutres bien drainés, fertiles et riches en humus
Floraison : petites fleurs tubulaires quadrilobées très parfumées
Feuillage : caduque
Port : colonnaire dressé, buissonnant

Attribué par un jury de représentants de la presse jardin et de journalistes horticoles, le Prix de la Presse a récompensé une plante justifiant une communication écrite ou audiovisuelle importante auprès du grand public.

Ce nouveau Caryoptéris se distingue par son abondante floraison légèrement parfumée, de fleurs en grappes rose pâle. Ce buisson dense et compact, possède un feuillage
vert gris lumineux, aux effluves aromatiques au toucher.
Très mellifère !

Exposition : soleil / mi-ombre
Sol : drainé
Rusticité : -15°
Floraison : juillet à octobre
Utilisation : massif

Le Prix de la Société Nationale d’Horticulture de France récompense une plante de collection d’intérêt botanique/horticole.

Cette mauve arbustive, mi vivace-mi arbuste, est une plante exceptionnellement florifère, très bien adaptée à la culture en pots; ses petites fleurs d’hibiscus d’un rose très vif, finement veinées de rouge, s’ouvrent sur une gorge pourpre, animant sa végétation de l’été à l’automne, voire toute l’année en climat doux. Elle demande beaucoup de soleil mais aussi de l’eau pour soutenir sa floraison, en particulier lorsqu’elle est cultivée en bac.

Sol : drainé
Exposition : soleil
Utilisation : isolé ou en bac
Rusticité : -10 à -12°C
Floraison : 10 mois sur 12 !

Décerné par les membres du Comité des Parcs et Jardins de France, le Prix CPJF récompense un exposant pour la présentation d’une collection végétale spécialisée, la plus exhaustive possible ; avec une dotation de 200 euros.

Saveurs Vivaces est une pépinière pour potagers, jardins-forêt, paysages comestibles et projets de permaculture. Vous trouverez chez elle diverses variétés de légumes vivaces d’Europe, Amérique Latine ou Asie, nécessaires à votre projet ainsi que des conseils pour les cuisiner. La culture des plantes est faite de façon naturelle, sans intrants chimiques.

Attribué par un jury composé de personnalités du monde de l’art et du jardin, il récompense une création originale, tendance, novatrice ou esthétique qui permet d’organiser, décorer, entretenir ou aménager son jardin.
pour pour la variété, la sobriété et la poésie de ses créations.
Le Prix de la plus belle scénographie a été décerné à Pépinière de Kerfandol pour la qualité et la créativité de la scénographie des plantes présentées.

Crédit Photos : Carole Desheulles

Prix et trophées des précédentes édition des Fetes des Plantes de Printemps et d'Automne