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Fête des Plantes d'Automne

Rendez-vous avec les meilleurs pépiniéristes producteurs européens
Vendredi 23, samedi 24 et dimanche 25 septembre 2022 de 10h à 18h
Réservez sur Festik : ou sur

Collections, raretés, nouveautés

Les spécialistes rassemblés dans cette édition d’automne prouvent, une fois de plus, la richesse de la pépinière française, soutenue par quelques-uns de nos voisins européens. Les collectionneurs comme les jardiniers débutants trouveront ici, une fois encore, de quoi satisfaire leur curiosité. D’autant que rareté ne rime pas pour autant avec difficulté et que presque toutes ces plantes s’acclimateront un peu partout avec bonne volonté.
Découvrez dès à présent quelques-unes des nombreuses plantes rares et des nouvelles obtentions qui seront présentées lors de cette édition automnale.

Hedychium ‘Devon Cream’ _©DR
Tillandsia bergerii_©DR

L’Hedychium ‘Devon Cream’ de La Roche Saint Louis

Proches parents du gingembre, les Hedychium sont des plantes à hautes tiges et à l’élégant feuillage frais d’allure exotique. Certaines espèces ont commencé à faire connaître le genre il y a déjà une trentaine d’années, mais leurs tiges toujours inclinées, leur faible rusticité et leur floraison plus que tardive (octobre-novembre) n’ont pas plaidé en leur faveur. Tel n’est pas le cas de diverses sélections et hybrides qui viennent rafraîchir leur image, telle ‘Devon Cream’. Haute de 1m environ, dressée, celle-ci épanouit en août-septembre de grosses inflorescences au parfum capiteux, aux fleurons aérés jaune tendre.
Les rhizomes ne demandent une protection hivernale (paillis) qu’en climat froid (au-delà de – 10°C en hiver). Un bon sol moyen, pas trop sec et la mi-ombre font le bonheur de cette sélection.


 

Le Tillandsia bergeri de la pépinière Tillandsia

Ces « filles de l’air » que sont les Tillandsia laissent toujours le jardinier perplexe. Qu’elles semblent vivre de l’air du temps, sans demander de sol est en effet un peu difficile à admettre pour les néophytes (et nombre d’autres !). Ces plantes, toutes américaines, vivent à l’état naturel dans des pays tropicaux, ce qui semble les indiquer pour la seule culture sous abri. Une bonne dizaine d’entre elles, toutefois, de haute altitude, sont à même de supporter la majorité de nos climats à l’extérieur. Témoin la ravissante T. bergeri, résistant à – 10°C et épanouissant en fin d’été ses délicates corolles d’un bleu opalescent. Veillez seulement à lui éviter le soleil brûlant et bassinez-la fréquemment.


 

Basilic vivace_©DR

Malus sieversii_©DR

Le basilic vivace de Ah ! La Ferme des Saveurs

Très apprécié des gourmets, le basilic le plus commun présente l’inconvénient de durer peu. On a beau le tailler, il fleurit quand même et s’épuise alors sans remède. Rien de tel avec ce basilic vivace, arbustif et très puissamment parfumé. Comme ses frères, il demande du soleil, de bons arrosages, mais un sol bien drainant, surtout en pot.
Le mieux pour l’employer est de laisser macérer une ou deux feuilles dans l’huile avant d’employer celle-ci dans un assaisonnement.
La plante passera l’hiver en pot, au chaud, en véranda et en pleine lumière. Pincez les boutons floraux durant la belle saison pour la voir s’étoffer. A tailler en avril avant le redémarrage de la végétation.


 

Le Malus sieversii de la pépinière Boca Plantes

C’est lui, l’ancêtre de tous nos pommiers cultivés, nous dit-on. En fait, ce pommier issu du Kazakhstan est désormais fortement menacé dans son milieu naturel, où l’on trouve des sujets de plusieurs centaines d’années. On pourrait s’attendre à ce que ses savoureux fruits allongés, très variables de couleur suivant les populations, soient également de petite taille. Il n’en est rien et ils n’ont rien à envier à ceux des cultivars modernes.
N’hésitez pas à introduire chez vous cette curiosité botanique, extrêmement résistante, dont il est aujourd’hui impossible d’obtenir graines ou greffons issus des plants sauvages.
Boca Plantes, toujours en quête de raretés, lui rend hommage et l’avait déjà mis en exergue dans son catalogue de l’an dernier où il était signalé comme Plante de l’année.


 

Quercus glauca_©Pép. de Saint-Méloir
Viola hederacea_©DR

Le Quercus glauca de la Pépinière de Saint Méloir

Pour la plupart des jardiniers, il n’existe guère de chênes persistants en dehors du chêne vert. C’est ignorer les nombreuses espèces, souvent venues de loin, qui agrémentent le genre. L’une des plus étonnantes, dans laquelle on a peine, bien souvent, à reconnaître un chêne jusqu’à l’apparition des fruits, est Quercus glauca. Autrefois très répandu de l’Afghanistan au Japon, il est hélas ! en grand danger d’extinction dans ses contrées natives. De taille moyenne pour le genre (8 à 12 m de haut, quand même !), c’est une espèce à croissance assez lente, au superbe feuillage allongé, denté, acajou à beige rosé à la naissance, puis vert doté de reflets bleutés. Rustique, il appréciera un sol profond peu calcaire.


 

La Viola hederacea de La Petite Foulerie

Pour tous, les violettes sont un des symboles obligés du printemps. Cela vaut pour nos espèces indigènes, mais également pour celles venues d’autres contrées. Une d’entre elles cependant se détache du lot en fleurissant… toute l’année. Répondant au nom de Viola hederacea (violette à feuilles de lierre), c’est une plante très rase, fortement tapissante, et qui produit bravement ses jolies fleurs bicolores même en plein été. Venue des Antipodes (Australie), on l’a longtemps crue très frileuse et réservée au sud de notre pays, mais l’expérience récente a prouvé qu’elle résistait au moins à -8°C. L’avenir nous dira si elle peut affronter des froids plus vifs. En attendant, il est prudent d’hiverner en serre froide une ou deux rosettes de cette espèce aussi prolifique que décorative.


 

 
RENDEZ-VOUS EN 2023
les 22, 23 et 24 septembre
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